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Données statistiques sur Jupiter
 
 Masse (kg) 1,900e+27 
 Masse (Terre = 1) 3,1794e+02 
 Rayon équatorial (km) 71,492 
 Rayon équatorial (Terre = 1) 1,1209e+01 
 Densité moyenne (gm/cm^3) 1,33 
 
 Distance moyenne du Soleil (km) 778,330,000 
 Distance moyenne du Soleil (Terre = 1) 5,2028 
 Période de rotation (jours) 0,41354 
 Période orbitale (jours) 4332,71 
 Vitesse orbitale moyenne (km/sec) 13,07 
 
 Excentricité de l'orbite 0,0483 
 Inclinaison de l'axe (degrés) 3,13 
 Inclinaison de l'orbite (degrés) 1,308 
 
 Gravité de surface équatoriale (m/sec^2) 22,88 
 Vitesse d'échappement équatoriale (km/sec) 59,56 
 
 Albédo géométrique visuel 0.52 
 Magnitude (Vo) -2,70 
 Température moyenne des nuages -121°C 
 Pression atmosphérique (bars) 0,7 
 Composition de l'atmosphère
Hydrogène
Hélium

90% 
10% 
 
 Satellites répertoriés
Métis, Adrasrée, Amalthé, Thébé, Io, Europe, Ganymède, Callisto,
Léda, Himalia, Lysithé, Élara, Ananké, Carmé, Pasiphae, Sinopé.

16 
 Anneaux:
Quatre composantes découverts grâce à la sonde Voyageur 1 en 1979.

 


 

Images de Jupiter

Jupiter
Cette photographie a été prise par le télescope Hubble de la NASA le 13 février 1995, Elle révèle le détail d'un ensemble unique de trois tempêtes qui ont la forme de trois ovales blancs adjacents à la "grande tache rouge" dans sa partie sud-ouest (en bas et vers la gauche de la "tache rouge"). Dans cette photographie, les nuages prennent une apparence considérablement différente de celle qu'ils avaient seulement sept mois plutôt. Ces tempêtes se rapprochent les unes des autres à mesure que la "grande tache rouge" est emporté par les vents dominants dans la direction ouest tandis que les "ovales blancs" sont balayés en direction est.

Les deux tempêtes (ovales blancs) les plus extérieures se sont formées vers la fin de l'année 1930. Dans la partie centrale de ce système de nuages le mouvement de l'air est ascendant et transporte, vers le haut, du nouveau gaz d'ammoniaque. De nouveaux cristaux blancs se forment lorsque le gaz ascendant gèle en atteingnant le niveau supérieur des nuages où la température est d'environ -130°C (-200°F). Le centre de la tempête blanche, la structure torsadée vers la gauche de l'ovale, et la petite zone brune se sont formés dans des cellules de basse pression. Les nuages blancs se situent au dessus des endroits où le gaz descend vers les régions plus basses et plus chaudes.

Jupiter
Cette photographie a été prise par la caméra planétaire à large champ du télescope Hubble. C'est une reconstitution en vraies couleurs du disque complet de Jupiter. Tous les éléments de l'image représentent des formations nuageuses dans l'atmosphère jovien, contenant de petits cristaux d'ammoniaque congelé ainsi que des traces de composés colorés de carbone, de soufre et de phosphore. Cette photographie a été prise le 28 mai 1991.(Courtoisie de la NASA/JPL)

 




Télescope optique "Nordic"
Ce cliché de Jupiter a été pris par le télescope optique Nordic de 2,6 mètres, localisé à La Palma aux Îles Canaries. C'est un bel exemple des images qui peuvent être obtenues à partir d'un télescope basé sur la terre. (c) Nordic Optical Telescope Scientific Association (NOTSA).

 

 

 

 



Jupiter et ses satellites Io et Europe
Photographie de Jupiter et de deux de ses satellites prise par Voyager 1 (Io, à gauche, et Europe, à droite) le 13 février 1979. Dans cette image, Io est à environ 350 000 kilomètres (220 000 milles) au dessus de la "grande tache rouge" de Jupiter tandis que Europe se trouve à environ 600 000 kilomètres (373 000 miles) au dessus des nuages de Jupiter. Jupiter est à environ 20 millions de kilomètre (12,4 millions de milles) de la sonde spatiale au moment de la prise de ce cliché. Il y a évidence de mouvement circulaire dans l'atmosphère de Jupiter. Alors que les mouvements dominants à grande échelle sont d'ouest en est, les mouvements à petite échelle comprennent des courants tourbillonnants à l'intérieur et entre les bandes nuageuses. (Courtoisie de la NASA/JPL)

Les émissions aurorales sur Jupiter
Ces images HST, révèlent les changements dans les émissions aurorales de Jupiter et comment les petites régions aurorales, situées près des anneaux d'émission, sont reliées à la lune volcanique Io. La rangée du haut met en évidence les effets des émissions en provenance de Io. Le cliché de gauche montre la façon dont Io et Jupiter sont reliés par un invisible courant électrique constitué de particules ionisées qu'on appelle un tube d'écoulement (flux tube.) Les particules éjectées par les éruptions volcaniques d'Io circulent en suivant les lignes du champ magnétique de Jupiter qui relient Io aux pôles magnétiques nord et sud de la planète.

Le cliché de droite (en haut) montre les émissions aurorales aux pôles nord et sud de Jupiter. Juste à l'extérieur de ces émissions on peut observer les petites taches aurorales appelées "empreintes" (footprints).Les taches aurorales sont créées par les particules circulant dans le "tube d'écoulement" lorsqu'elles atteignent l'atmosphère supérieure de Jupiter et interagissent avec le gaz d'hydrogène, produisant la fluorescence.

les deux clichés du bas, pris dans le spectre ultraviolet, mettent en évidence les changements dans la brillance et la structure des émissions aurorale pendant que Jupiter tourne. Ces images en fausses couleurs révèlent aussi que le champ magnétique de Jupiter est décalé de 10 à 15 degrés par rapport à son axe de rotation. Dans le cliché de droite, l'émission aurorale nord se lève au dessus du côté gauche; l'émission aurorale ovale (sud) est sur le point de se coucher. Le cliché de gauche pris à une date différente, montre une vue complète de l'aurore nord avec une forte émission à l'intérieur de l'émission principale de forme ovale.

Crédits: John T. Clarke and Gilda E. Ballester (Université du Michigan), John Trauger and Robin Evans (Jet Propulsion Laboratory), et la NASA.

La grande tache rouge
Cette vue spectaculaire de la "grande tache rouge" de Jupiter et de ses environs a été obtenue par Voyager 1, le 25 février 1979, quand la sonde spatiale se trouvait à 9,2 millions de kilomètres (5,7 millions de milles) de Jupiter. Les détails des nuages aussi petits que 160 kilomètres (100 milles) peuvent être vus (aperçus). Le motif ondulé et très coloré des nuages à la gauche de la "grande tache rouge" est une région de circulations ondoyantes extraordinairement complexes et mobiles. (Courtoisie de la NASA/JPL)

 




La grande tache rouge de Jupiter (en fausses couleurs)
Ce cliché en fausses couleurs de la "grande tache rouge" a été pris par le système d'imagerie de la sonde Galilée en utilisant trois filtres à "infrarouge proche" Il est composé d'une mosaïque de dix-huit images (6 avec chaque filtre) prises sur une période de 6 minutes le 26 juin 1996. La "grande tache rouge" est de couleur rose et la région qui l'entoure est bleu dû au code de couleur particulier utilisé pour cette reconstitution. Le canal rouge représente la lumière réfléchie par Jupiter à la longueur d'onde de la plus grande absorption par le méthane (889nm). En conséquence, à cette longueur d'onde, seuls les nuages à haute altitude peuvent réfléchir la lumière solaire. Le canal vert utilise la lumière réfléchie dans une longueur d'onde de moindre absorption par le méthane.(727nm). Les nuages à plus basse altitude peuvent réfléchir la lumière solaire à cette longueur d'onde. Finalement le canal bleu utilise une longueur d'onde qui ne correspond essentiellement à aucune absorption dans l'atmosphère jovien (756nm) ce qui permet de voir la lumière réfléchie par les nuages à la plus basse altitude. En conséquence, la couleur d'un nuage dans ce cliché est une indication de sa hauteur, le rouge représentant les nuages les plus hauts et le bleu ou le noir les nuages les plus bas. Cette image montre la "grande tache rouge" à une altitude relativement haute ainsi que certains nuages plus petits que l'on peut voir au nord-est et au nord-ouest, et qui ressemblent étrangement aux orages électrique violents que l'on retrouve sur terre et qui culminent à haute altitude. Les nuages les plus profonds se situent dans le collet (anneau) qui entoure la "grande tache rouge" ainsi que juste au nord-ouest du nuage brillant à haute altitude que l'on retrouve dans le coin nord-ouest de l'image. Les simulations préliminaires évaluent l'altitude de ces nuages à environ 50km. (Courtoisie de la NASA/JPL)

La tache rouge vue par la sonde Galilée
Cette vue de la "grande tache rouge" de Jupiter est une mosaïque de deux images prises par la sonde spatiale Galilée. Ce cliché à été obtenu en utilisant deux filtres, un violet et un dans l'infrarouge proche, à chacune de deux positions différentes de la caméra. La "grande tache rouge" est une tempête dans l'atmosphère de Jupiter et elle existe depuis au moins 300 ans. Les vents soufflent en sens antihoraire à une vitesse d'environ 400 kilomètres-heure (250 milles à l'heure). La taille de la tempête est plus grande qu'une fois le diamètre de la Terre (13 000 kilomètres ou 8 000 milles) dans la direction nord-sud, et deux fois le diamètre de la Terre en direction est-ouest. Dans cette vue oblique où la "grande tache rouge" apparaît à la périphérie de la planète, elle semble plus longue dans la direction nord-sud. Ce cliché a été pris le 26 juin 1996. (Courtoisie de la NASA/JPL)

L'anneau de Jupiter
L'anneau de Jupiter a été découvert par la sonde Voyager 1 en mars 1979. Ce cliché a été pris par Voyager 2 et est pseudo coloré. L'anneau Jovien a une largeur d'environ 6 500 kilomètres et probablement une épaisseur de moins de 10 kilomètres (6,2 milles). (Crédit: Calvin J. Hamilton)




L'équateur de Jupiter
Ce cliché montre toute la région équatoriale de Jupiter. Il a été assemblé à partir d'une mosaïque de plusieurs images. La grande tache rouge est visible vers la gauche de l'image. (Crédit: Calvin J. Hamilton, et la NASA)



Les lunes de Jupiter
Cette image représente à l'échelle, les lunes de Jupiter Amalthée, Io, Europe, Ganymède, et Callisto. (Crédit: Calvin J. Hamilton)

 

 

 

 


 


Galerie de photos des satellites galiléens prise par Hubble
Ce portrait de famille des quatre plus grosses lunes de Jupiter fut pris par le télescope spatial Hubble. Ces lunes furent observées par le scientifique italien Galileo Galilei il y a près de quatre cent ans. Vues à une distance de près d'un demi milliard de milles, les lunes sont si petites, qu'en lumière visible, elles apparaissent dans les plus gros télescopes terrestres comme des disques flous. Le télescope Hubble peut résoudre des détails de la surface qui n'avaient été vus précédemment que par la sonde spatiale Voyager, au début des années 1980.

Le télescope Hubble a catalogué de nouvelles activités volcanique sur la surface active de Io. Il a aussi trouvé une atmosphère d'oxygène ténue sur la lune. Europe et identifié de l'ozone sur la surface de Ganymède. Les observations par le télescope Hubble de la surface de Callisto dans le spectre ultraviolet, met en évidence la présence de glace nouvellement formée, ce qui pourrait être un indice d'un bombardement par des micrométéorites et des particules chargées (ions) en provenance de la magnétosphère de Jupiter. (Crédit: STScI/NASA)

 

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